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Perdre un proche est une épreuve difficile, surtout sur le plan émotionnel. Pour lui rendre un dernier hommage, il est de ce fait primordial de bien organiser ses obsèques. Si le défunt a rédigé ses dernières volontés par rapport à ses funérailles, il est du devoir de la famille de les respecter.
Bien que la séparation soit une épreuve douloureuse, s’y préparer est nécessaire afin que le dernier hommage se déroule comme il se doit.
Découvrez dans cet article les différentes étapes à suivre pour organiser correctement une cérémonie funéraire.
La veillée mortuaire
Le décès d’un proche peut être une dure épreuve pour la famille endeuillée. Ainsi, cette dernière peut décider de se recueillir autour du défunt en organisant une veillée mortuaire. Le lieu de la veillée du corps jusqu’à la mise en bière est à déterminer par les proches du défunt.
Dans une chambre funéraire
Si vous sollicitez les services d’une agence de pompes funèbres, le prestataire peut mettre à votre disposition une chambre funéraire. Les chambres funéraires sont aussi connues sous l’appellation de « salons funéraires » ou de « funérarium ».
Ce lieu permet à la famille du défunt de se recueillir autour de lui avant les funérailles. Les proches du disparu peuvent d’ailleurs personnaliser le funérarium à leur guise. En effet, il est possible d’aménager la chambre funéraire et de diffuser un peu de musique durant chaque veillée du corps. L’installation d’objets souvenirs dans le salon funéraire est aussi envisageable le temps du recueillement. Les membres de la famille du défunt ainsi que ses proches amis peuvent ainsi le revoir au salon funéraire dans une ambiance un peu plus réconfortante.
Au domicile du défunt
La veillée mortuaire repose sur un concept simple : veiller jusqu’à la levée du corps. Dans cette optique, les proches du défunt se réunissent autour de lui avant les obsèques, et ce, pour quelques jours.
La veillée mortuaire peut se faire au domicile du défunt si telle était sa volonté lors de son vivant. D’ailleurs, c’est le procédé le plus courant. Par contre, il faut respecter des protocoles d’hygiène stricte afin de rendre cette démarche possible. Il est notamment indispensable de placer le corps dans une salle aérée et de grande taille. Notez que le transfert du corps depuis le lieu du décès au domicile du défunt doit se faire sous 48 heures.
La mise en bière
La mise en bière ou mise en cercueil est une étape obligatoire lors des obsèques. Que le mode de sépulture choisi par le défunt lors de son vivant soit l’inhumation ou la crémation, il faut réaliser la mise en bière.
Recueillement de la famille
Pour la famille du défunt, la mise en cercueil est un moment pour se recueillir autour du disparu pour la toute dernière fois. Le temps de recueillement est ainsi un dernier hommage rendu à la personne décédée, avant la fermeture définitive du cercueil. Cette étape de la cérémonie funéraire permet à la famille endeuillée de faire un rituel d’adieu et de déposer des objets personnels près du défunt. En principe, le recueillement se fait dans l’intimité, entre la famille et les proches amis du disparu.
Scellage du cercueil
La mise en bière symbolise concrètement la séparation entre le corps du défunt et ses proches. En effet, cette étape consiste à mettre le corps du disparu dans le cercueil. Avant le scellage de ce dernier, la famille du défunt peut décider de laisser le cercueil ouvert ou fermé.
Une fois le temps de recueillement de la famille terminé, il est nécessaire de sceller le cercueil. Cela doit se faire en présence d’un officier d’état civil. En principe, la fermeture définitive du cercueil se déroule juste avant la cérémonie des obsèques. Après la fermeture définitive du cercueil, il n’est plus possible de l’ouvrir à nouveau. La levée du corps aura ensuite lieu et le cercueil sera transporté vers le lieu de sépulture. Dans certains cas, la levée du corps a lieu immédiatement après le décès (notamment si le défunt est décédé à cause d’une maladie contagieuse).
La cérémonie d’hommage
Comme vous pouvez le voir sur cette page, la cérémonie funéraire est une étape importante puisque c’est à ce moment que les proches du défunt lui rendent un dernier hommage. Elle se déroule :
- soit dans un lieu de culte,
- soit au funérarium,
- soit au crématorium.
En principe, la cérémonie d’hommage a lieu juste après la mise en bière.
La cérémonie laïque
La cérémonie laïque ou la cérémonie civile permet de rendre hommage au disparu en donnant la parole à ses proches. Ces derniers orienteront leur discours sur les souvenirs à propos du défunt. Le déroulement d’une cérémonie civile est donc assez libre : il n’y a pas de protocole à suivre.
Pour rendre hommage au défunt, la famille peut diffuser de la musique, lire des poèmes, faire une projection de photos et de vidéos, etc. La cérémonie laïque est présidée par un maître de cérémonie. Elle est à privilégier si la famille du défunt ne souhaite aucun aspect religieux dans le processus des obsèques. Il est aussi probable que le défunt l’ait mentionné dans ses dernières volontés.
La cérémonie religieuse
Selon les dernières volontés du défunt, la cérémonie funéraire peut se faire dans un lieu de culte. Il est aussi possible que la famille choisisse cette option si le disparu est croyant. Selon les affluences religieuses du défunt, la cérémonie d’hommage peut se dérouler dans une église catholique, orthodoxe, protestante, dans une mosquée ou une synagogue. Son déroulement dépendra donc de la structure du rituel religieux dans le lieu de culte choisi.
La sépulture
Selon les dernières volontés du défunt ou le choix de la famille, la sépulture peut porter sur l’inhumation ou la crémation du corps. Que ce soit pour l’un ou pour l’autre, sa réalisation doit se faire au maximum 6 jours après le décès.
L’inhumation
Le mode de sépulture le plus courant est l’inhumation ou encore la mise en terre. Cette cérémonie funéraire se déroule dans un cimetière, là où le défunt se reposera à jamais. Selon le cas, l’enterrement du disparu se fait en pleine terre ou dans le caveau familial. Avant et pendant la mise en terre du cercueil, le maître de cérémonie peut citer des prières ou prononcer quelques paroles en hommage au défunt.
L’inhumation se fait normalement dans un cimetière communal, sauf si la famille dispose d’une concession funéraire. Si ce n’est pas le cas, la famille du défunt peut inhumer le corps :
- soit dans le cimetière de la ville où le disparu est décédé,
- soit dans le cimetière de la ville de son logement.
La crémation
La crémation est le plus souvent précédée d’une cérémonie laïque, après recueillement de la famille autour du défunt. Ce mode de sépulture consiste à réduire en cendre le corps du disparu. Il se fait dans un crématorium et dure au maximum deux heures.
La famille est libre de choisir le crématorium où se déroulera la crémation. Une fois le corps incinéré en totalité, les cendres seront déposées dans une urne cinéraire. Cette dernière sera scellée par un opérateur du crématorium. Selon les dernières volontés du défunt, les cendres peuvent être dispersées dans la nature ou en pleine mer. Si le disparu n’a rien mentionné à ce sujet, la famille peut déposer l’urne dans un columbarium ou dans le caveau familial. Les proches du défunt sont aussi autorisées à disperser les cendres dans le jardin de souvenir du crématorium. Il est à noter qu’il est illégal de conserver l’urne au domicile.
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